Considéré comme le « Pape du Gore » depuis son Blood Feast en 1963, le réalisateur Herschell Gordon Lewis enchaîna les bobines underground cradingues et marqua profondément la manière de filmer la violence au cinéma. Aboutissement de cette démarche (la mise en scène et le spectacle de la violence sont au cœur du récit), The Wizard of Gore ne déroge pas au funèbre cahier des charges du cinéaste et offre énucléations, lacérations, prélèvements d’organes et extraction de cerveau à même la boîte crânienne.