Make up artist prolifique, Robert Green Hall a aussi eu une petite carrière de réalisateur, dont on retiendra surtout le diptyque Laid to Rest. Deux slashers bien énervés qui, s’ils s’installent un peu trop dans les clichés du genre, réussissent à introduire un boogey man mémorable opérant un étalage de sévices variées et jouissives qui, background du réal oblige, font la part belle aux effets spéciaux artisanaux. Triste de se dire qu’on ne verra jamais (à priori) Laid to Rest 3, que Hall était en train de développer avant son décès prématuré en 2021.